Je crois, jeunes insolents, que vous mesurez mal la situation. Ce que vous interprétez comme une interminable suite de branlées, une série sans fin de torgnoles, une longue litanie d'humiliations n'est qu'une stratégie finement élaborée et mainte fois victorieuse dite de 'le méchant va bien finir par se lasser".
Et là, quand accablé par la fatigue et désemparé par cette absence de résistance, le méchant faiblira, El Magnifico bondira telle la mangouste sur le cobra, il jaillira comme le nain sur une chope pendant l'happy hour, et il lui portera le coup fatal.
Bref. "Mundi placet et spiritus minima", ça n'a aucun sens mais on pourrait très bien imaginer une traduction du type : "Le roseau plie, mais ne cède... qu'en cas de pépin" ce qui ne veut rien dire non plus.
Mais j'ai confiance.